Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
sociospirituel
5 août 2013

Le dixième Commandement

 

Le dixième Commandement

TU NE CONVOITERAS PAS LA MAISON, LA   FERME

LE BÉTAIL DE TON PROCHAIN,

ET TOUT CE QUI EST A LUI !

 

Quiconque cherche à tirer profit dans   le travail honnête et par le commerce honnête, peut attendre dans la paix   l'appel de ce commandement lors du grand règlement des comptes car il passera   près de lui, sans l'atteindre en frappant. A vrai dire, c'est tellement   facile d'accomplir tous les commandements, et pourtant ... considérez   seulement exactement tous les humains, bientôt vous en arriverez à la   reconnaissance que cette observance du commandement, tellement naturelle en   réalité pour l'être humain, n'est pas suivie ou seulement très rarement, et   alors pas avec joie, mais uniquement avec beaucoup de peine.

Comme un désir inextinguible cela   déferle sur tous les humains, qu'ils soient blancs, jaunes, bruns, noirs ou   rouges, d'envier le prochain pour ce que lui-même ne possède pas. Mais encore   mieux exprimé : pour tout lui envier ! Or, dans cette envie repose déjà la   convoitise défendue ! Ainsi la transgression du commandement

 

 est dès lors accomplie et devient la racine   de bien des maux qui amènent l'être humain rapidement à la chute, de laquelle   souvent jamais il ne se relèvera.

Chose étrange, l'homme moyen apprécie   rarement ce qu'il nomme son bien propre, mais toujours uniquement ce qu'il ne   possède pas encore. Les ténèbres répandirent activement les convoitises, et   malheureusement les âmes humaines ne s'y prêtèrent que trop volontiers, afin   de produire le terrain le plus fertile pour la funeste semence.

Ainsi au cours des temps, dans la plus   grande partie de l'humanité, la convoitise du bien d'autrui devint   fondamentale pour tous les faits et gestes. A commencer par le simple désir,   en s'intensifiant par la ruse, l'art de la persuasion, jusqu'à l'envie   effrénée du perpétuel mécontentement, et jusqu'à la haine aveugle.

Toute voie vers la satisfaction fut   précisément encore reconnue comme bonne, quand elle ne s'opposait pas trop   ouvertement à la loi terrestre. Dans la course croissante au profit, on ne   considéra pas le commandement de Dieu ! Chacun croyait être réellement   honnête, aussi longtemps qu'il n'avait pas de compte à rendre devant la   justice terrestre. Mais pour l'éviter, cela ne lui

coûtait guère de peine ; car il   employait la plus grande prudence et la plus vive sagacité de l'intellect   lorsqu'il était dans son intention de nuire sans égard à son prochain, dès   que cela devenait nécessaire, afin d'obtenir pour lui-même un avantage   quelconque à bon marché.

Il ne pensait nullement qu'en réalité   cela précisément lui reviendrait beaucoup plus cher que tous les biens   terrestres qui peuvent lui être utiles ! La prétendue sagacité était l'atout   ! Cependant la sagacité selon les notions actuelles n'est en soi rien d'autre   que la fleur d'une ruse ou un accroissement de celle-ci. Il est seulement   étrange que tout le monde montre de la méfiance envers l'être humain rusé,   mais de l'estime envers celui qui est sagace ! Le point de vue de base   général produit l'absurdité.

L'être humain rusé est un gâcheur dans   l'art d'une satisfaction de sa convoitise, tandis que les êtres   intellectuellement sagaces sont devenus maîtres en ces choses. Le gâcheur ne   peut habiller son vouloir en de belles formes et ne récolte en conséquence   que mépris compatissant. Mais à l'encontre de l'expert, l'admiration   débordante d'envie jaillit des âmes qui s'adonnent au même penchant !

Ici encore l'envie, parce que sur le   terrain de l'humanité actuelle même l'admiration du genre identique ne peut   être sans envie. Les humains ne connaissent pas ce puissant mobile de tant   d'inconvénients, ils ne savent plus du tout que cette envie domine et dirige   actuellement sous des dehors variés toute leur pensée et leur action ! Elle   est dans chaque individu comme dans des peuples entiers, dirige les états,   engendre les guerres ainsi que les partis et l'éternelle discorde, là où   seulement deux personnes ont à délibérer sur quelque chose !

Où demeure l'obéissance au dixième   commandement de Dieu, voudrait-on lancer en avertissant les états ! Dans la   cupidité la plus impitoyable chacun des états terrestres n'aspire qu'à la   possession du bien de l'autre ! Ils ne reculent pas devant le meurtre   individuel, même pas devant le meurtre des masses, pas devant l'esclavage de   peuples entiers, uniquement pour se hisser eux-mêmes à la grandeur. Les beaux   discours sur l'auto-conservation ou l'autoprotection ne sont que des   prétextes, parce qu'eux-mêmes ressentent distinctement qu'il faut dire   quelque chose pour atténuer un peu ces crimes monstrueux contre les   commandements de Dieu, pour les excuser !

Mais cela ne leur sert à rien ; car   impitoyable est le burin qui grave la non-observance des commandements de   Dieu dans le livre de l'événement cosmique, insécables sont les fils   karmiques qui sont noués ainsi par chacun en particulier, de telle sorte que   le moindre mouvement de sa pensée et de l'action ne peut se perdre sans être   dénoué !

Quiconque peut embrasser tous ces fils   du regard voit quel jugement terrible fut ainsi désormais provoqué ! La   confusion et l'effondrement de ce qui fut érigé jusqu'ici sont seulement les   premières légères conséquences de ces plus ignominieuses violations du   dixième commandement de Dieu ! Personne ne pourra être indulgent envers vous,   dès que toute la répercussion commencera alors de plus en plus à faire   irruption sur vous. Vous n'avez pas mérité autre chose. Ce faisant, il   n'adviendra que ce que vousmêmes avez déclenché par force !

Arrachez complètement de votre âme la   convoitise impure ! Pensez que même un état ne se compose que d'individus !   Abandonnez toute jalousie, la haine envers les humains qui, selon votre   opinion, possèdent beaucoup plus que vous-mêmes ! Cela a bien sa raison !   Mais que

 

vous ne soyez pas capables de   reconnaître la raison, vous seuls en portez toute la faute, tandis que   vous-mêmes avez volontairement forcé le rétrécissement monstrueux et non   voulu par Dieu de votre possibilité de compréhension, qui doit apparaître   comme la conséquence de votre funeste servilité à l'intellect !

Celui qui dans le nouveau Royaume de   Dieu ici sur Terre ne veut pas être satisfait de la situation qui lui est   donnée, par répercussion des fils karmiques personnels qu'il s'est lui-même   formés, n'est pas digne d'y vivre ! Il n'est pas digne que lui soit ainsi   donnée l'occasion de délier de façon relativement facile le poids des   anciennes fautes qui adhèrent à lui, et en même temps de mûrir encore   spirituellement, pour trouver la voie qui mène vers le haut, vers la Patrie   de tous les esprits libres, là où ne règnent que lumière et joie !

A l'avenir, tout mécontent sera   impitoyablement balayé en tant que perturbateur inutilisable de la paix enfin   voulue, en tant qu'obstacle d'une saine ascension ! Mais s'il a encore en lui   un bon germe qui garantit fortement un proche retour sur lui-même, alors il   arrivera à la connaissance de la justesse absolue de la sage Volonté de Dieu   ;

justesse pour lui également qui,   jusque-là par la myopie de son âme et par une stupidité voulue par lui-même,   ne pouvait reconnaître que lui seul s'est préparé le lit, en lequel il repose   actuellement sur Terre, comme conséquence absolue de ce que fut son être tout   entier jusqu'alors, en plusieurs vies dans l'au-delà et aussi sur la Terre,   mais que ce n'est pas l'arbitraire aveugle d'un hasard !

Ce faisant, il apparaîtra enfin qu'il   a précisément et uniquement besoin pour lui-même de ce qu'il vit, et où il   est, de même que les conditions dans lesquelles il est né avec tout ce qui   s'y rattache !

S'il travaille sur lui avec zèle,   alors il s'élèvera non seulement spirituellement mais aussi terrestrament.   Mais s'il veut obstinément se frayer de force un chemin différent, sans   considération et veut porter préjudice à autrui, cela ne pourra jamais lui   apporter un réel profit.

Ce sera une lutte sévère pour les âmes   humaines avant qu'elles puissent se délivrer des transgressions habituelles   du dixième commandement de Dieu, c'est-à-dire qu'elles ne se transforment en   ces choses pour vivre enfin réellement en conséquence également en pensée, en   parole et en acte ! Mais pour tous ceux qui ne le peuvent pas, la souffrance   et l'anéantissement les attendent ici sur Terre et dans l'au-delà !

 

Dans la Lumière de la Vérité

Message du Graal

De Abd-Ru-Shin

 

                                                                              Réal Rondeau

Publicité
Publicité
Commentaires
sociospirituel
  • Recherche de l’origine de l’être humain et des animaux ainsi que tous les processus inclus dans la création, afin de guider tous ces êtres vers l’harmonie dans le présent comme dans le futur.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Derniers commentaires
Archives
Visiteurs
Depuis la création 8 650
Publicité