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sociospirituel
26 septembre 2011

L'Homme et son Libre Arbitre 16-17-18-

                                      

16

Dans ces conditions, personne ne voudra ni ne fera jamais rien de répréhensible. Il en sera d'ailleurs incapable car il dispose par-là de la meilleure protection, de la plus grande force ainsi que des conseillers et des aides les mieux intentionnés.

Voilà pourquoi le Christ Lui aussi attire sans cesse l'attention sur la puissance suprême de l'amour: lui seul surmonte tout, il peut tout, mais toujours à condition qu'il ne s'agisse pas de l'amour exigeant et purement  terrestre empreint de jalousie et d'autres vices de ce genre.

Dans Sa Sagesse, le Créateur a ainsi lancé dans la Création une bouée de sauvetage que tout être humain rencontre plus d'une fois au cours de son existence sur cette Terre afin qu'il puisse s'y accrocher et prendre son essor.

Cette aide est là pour tous! Elle ne fait aucune distinction d'âge ni de sexe, elle n'opère aucune discrimination entre pauvres ou riches, et pas davantage entre «gens de qualité» ou «petites gens». Voilà pourquoi l'amour est effectivement le plus grand don de Dieu. Celui qui s'en saisit est sûr d'être sauvé de toute détresse et de tout abîme. Il se libère et recouvre ainsi bien vite et on ne peut plus facilement l'usage d'un libre arbitre inaltéré qui le conduit vers le haut.

Et s'il lui arrive de se trouver dans un abîme qui ne peut que le plonger dans le désespoir, l'amour est capable de l'en arracher avec la violence de l'ouragan et de le faire remonter vers la Lumière, vers Dieu qui Lui-même est Amour. Dès qu'un amour pur s'éveille en l'être humain, peu importe ce qui lui a donné naissance, il obtient aussitôt la liaison la plus directe avec Dieu, Source originelle de tout Amour, et il reçoit par-là le secours le plus puissant. Mais si un homme possédait tout et qu'il n'ait pas l'amour, il ne serait rien d'autre qu'un airain qui résonne ou un grelot qui retentit; il serait donc sans chaleur, sans vie, c'est-à-dire ... rien!

Cependant, s'il éprouve l'amour véritable envers l'un de ses semblables, un amour qui n'aspire qu'à offrir à l'être aimé lumière et joie, un amour qui ne tente pas de le rabaisser par des convoitises insensées mais s'efforce au contraire de l'élever en le protégeant, il le sert sans même avoir conscience de se mettre véritablement à son service; à vrai dire, il devient ainsi un donateur, un bienfaiteur désintéressé. Et cette façon de servir l'affranchit!

Beaucoup se diront dans ce cas: Voilà exactement ce que je fais ou du moins ce à quoi j'aspire dès maintenant. Je mets tout en oeuvre pour essayer de rendre la vie facile à ma femme ou à ma famille et pour leur faire plaisir.

                                

17

Je me donne du mal pour leur procurer les moyens de mener une existence confortable, agréable et exempte de soucis.

Ils seront des milliers à se rengorger, à se sentir satisfaits d'eux-mêmes et à se considérer comme ô combien bons et nobles! Or, ils se trompent. Tel n'est pas l'amour vivant. Ce dernier est loin d'être aussi exclusivement terrestre; au contraire, il incite en même temps avec beaucoup plus de force à rechercher ce qui est plus élevé, plus noble, ce qui est idéal. Assurément, personne ne saurait impunément, c'est-à-dire sans subir de préjudices, oublier les contingences terrestres; l'être humain ne doit pas les négliger, mais elles ne doivent pas pour autant devenir l'unique préoccupation de ses pensées et de ses actes. Au-dessus de tout cela, grand et fort, plane le désir - resté si mystérieux pour beaucoup - de pouvoir être véritablement à leurs propres yeux ce qu'ils sont aux yeux de ceux qui les aiment.

Or, avec ce désir, ils sont sur le bon chemin, celui qui conduit invariablement vers le haut.

L'amour vrai, l'amour pur, n'a pas besoin de plus amples explications. Chacun ressent parfaitement quelle est sa vraie nature, mais il ne veut pas se l'avouer lorsqu'il voit ses fautes et ressent combien, en vérité, il est encore loin d'aimer de façon vraie et pure. Mais il lui faut alors se ressaisir. S'il ne veut pas aboutir à un échec, il ne doit ni hésiter ni s'arrêter, car il ne peut plus y avoir pour lui de libre arbitre sans véritable amour.

Que d'occasions sont ainsi offertes aux humains pour leur permettre de se ressaisir et de prendre leur essor, mais ils n'en profitent pas! Dans la majorité des cas, leurs plaintes et leur recherche ne sont donc pas sincères. Dès qu'il leur faut apporter une contribution personnelle, fût-ce en modifiant légèrement leurs habitudes et leurs opinions, ils se dérobent aussitôt. Leur attitude n'est la plupart du temps que mensonge et illusion sur eux-mêmes. Dieu devrait venir à eux et les élever jusqu'à Lui sans qu'ils aient besoin de renoncer à leur cher confort et à l'adoration de leur propre personne. Alors ils condescendraient à la rigueur à se laisser convaincre, non sans attendre encore des remerciements particuliers de la part de Dieu.

Laissez donc ces parasites courir à leur perte! Ils ne méritent pas que l'on se donne de la peine pour eux. Ils continueront à laisser passer toutes les occasions qui s'offrent à eux, sans cesser pour autant de geindre et de prier. Mais si jamais l'un d'entre eux saisissait néanmoins semblable occasion, il ne manquerait pas de lui dérober sa plus noble parure - la pureté et le désintéressement - afin de traîner dans la fange des passions ce bien précieux entre tous.

18

Que les chercheurs et les initiés se ressaisissent enfin pour faire un détour !Qu'ils ne s'imaginent pas faire oeuvre agréable à Dieu en colportant sans cesse à vil prix Sa Que les chercheurs et les initiés se ressaisissent enfin pour faire un détour !Qu'ils ne s'imaginent pas faire oeuvre agréable à Dieu en colportant sans cesse à vil prix Sa Que les chercheurs et les initiés se ressaisissent enfin pour faire un détour !Qu'ils ne s'imaginent pas faire oeuvre agréable à Dieu en colportant sans cesse à vil prix Sa Parole et Sa Sainte Volonté, et en cherchant à instruire autrui avec tant d'insistance qu'ils donnent presque l'impression que le Créateur a besoin de mendier par l'intermédiaire de Ses fidèles pour élargir le cercle de Ses adeptes. C'est souiller la Parole que de l'offrir à ceux qui s'en saisissent avec des mains sales. Il ne faut pas oublier la phrase qui interdit de «jeter des perles aux pourceaux».

Or, en de tels cas, il ne s'agit de rien d'autre! Ce n'est qu'une inutile perte de temps, un temps qu'il n'est plus permis désormais de gaspiller à ce point sous peine de déclencher finalement des effets néfastes en retour. Seuls les chercheurs doivent être aidés.

L'inquiétude qui surgit partout chez de nombreux êtres humains et les études ou les recherches entreprises pour savoir ce qu'il en est du libre arbitre sont parfaitement justifiées; elles montrent qu'il est grand temps de se préoccuper de cette question. Ces préoccupations se trouvent renforcées par le vague pressentiment qu'il pourrait bien un jour être trop tard. Voilà qui maintient à présent un intérêt constant pour ces recherches. Mais, le plus souvent, c'est en pure perte! La majorité des gens ne sont plus capables aujourd'hui d'exercer leur libre arbitre parce qu'ils se sont trop profondément empêtrés. Que les chercheurs et les initiés se ressaisissent enfin pour faire un détour !Qu'ils ne s'imaginent pas faire oeuvre agréable à Dieu en colportant sans cesse à vil prix Sa Parole et Sa Sainte Volonté, et en cherchant à instruire autrui avec tant d'insistance qu'ils donnent presque l'impression que le Créateur a besoin de mendier par l'intermédiaire de Ses fidèles pour élargir le cercle de Ses adeptes. C'est souiller la Parole que de l'offrir à ceux qui s'en saisissent avec des mains sales. Il ne faut pas oublier la phrase qui interdit de «jeter des perles aux pourceaux».

Or, en de tels cas, il ne s'agit de rien d'autre! Ce n'est qu'une inutile perte de temps, un temps qu'il n'est plus permis désormais de gaspiller à ce point sous peine de déclencher finalement des effets néfastes en retour. Seuls les chercheurs doivent être aidés.

L'inquiétude qui surgit partout chez de nombreux êtres humains et les études ou les recherches entreprises pour savoir ce qu'il en est du libre arbitre sont parfaitement justifiées; elles montrent qu'il est grand temps de se préoccuper de cette question. Ces préoccupations se trouvent renforcées par le vague pressentiment qu'il pourrait bien un jour être trop tard. Voilà qui maintient à présent un intérêt constant pour ces recherches. Mais, le plus souvent, c'est en pure perte! La majorité des gens ne sont plus capables aujourd'hui d'exercer leur libre arbitre parce qu'ils se sont trop profondément empêtrés.

Ils l'ont vendu et bradé... pour rien!



Or, ils ne sauraient toutefois rendre Dieu
responsable de cet état de choses, comme ils tentent sans cesse de le faire par
les interprétations les plus diverses dans le seul but de repousser l'idée de
la responsabilité personnelle qui les attend; ils doivent au contraire ne s'en
prendre qu'à eux-mêmes. Quand bien même leur sentiment de culpabilité serait
empreint de la plus grande amertume et de la plus cruelle douleur, celles-ci ne
seraient jamais assez fortes pour compenser - fût-ce dans une très faible
mesure - la valeur du bien perdu qu'ils ont étouffé ou gaspillé de façon
insensée.



Malgré tout, dès qu'il s'y applique sincèrement,
l'être humain est encore à même de retrouver le chemin lui permettant de
reconquérir ce qu'il a perdu, à condition toutefois qu'il le souhaite du plus
profond de son être, que son désir soit réellement vivant en lui et ne
faiblisse jamais. Il doit être porté par l'aspiration la plus ardente

 

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