Le deuxième commandement de Dieu 1-2-3-4-5-6

(1) Le deuxième commandement de Dieu   Tu ne prendras pas  en vain le Nom Du Seigneur Ton Dieu L e nom éveille et rassemble en l'être humain la notion ! Quiconque profane un nom et ose l'avilir, avilit ainsi la notion ! Souvenez-vous en à chaque instant ! Mais ce clair commandement du Seigneur est parmi tous les dix commandements le moins considéré, donc le plus transgressé. Les genres de ces manques d'égards sont milliers. Même si l'être humain prétend que de nombreuses transgressions en sont tout à fait anodines, seulement de frivoles façons de parler, cela demeure bien malgré tout une transgression de ce commandement rigoureusement donné ! Ce sont justement ces milliers de manques d'égards prétendument seulement anodins, qui avilissent le Nom Sacré de Dieu et ainsi la notion de Dieu qui est toujours étroitement reliée au Nom, qui le dépouillent de sa Sainteté devant les humains, voire déjà devant les enfants, qui souillent son intangibilité tout en le faisant quotidien, par l'avilissement en une locution générale ! Les humains ne reculent pas devant le fait de fait de s'en rendre riidicule,Je ne veux pasciter	(2) l'une de ces nombreuses paroles ; car le Nom est pour cela beaucoup trop éminent et sublime ! Mais il suffit à chaque être humain d'y prêter attention seulement une journée, alors il sera probablement consterné de l'énorme accumulation de la transgression du deuxième commandement par les humains des deux sexes, chez grands et petits, jusqu'aux enfants qui sont à peine capables de former déjà une phrase juste. Car ce que les vieux chantaient, les jeunes le fredonnent ! Pour cette raison, ce sont précisément les avilissements de Dieu que bien des fois la jeunesse apprend en premier dans les transgressions des lois de Dieu, si anodines en apparence seulement ! Mais l'effet produit en ces choses est la pire de toutes les transgressions ! Littéralement dévastateur, il est largement répandu parmi toute l'humanité, non seulement chez les chrétiens, mais aussi parmi les musulmans, parmi les juifs et les bouddhistes, partout on entend la même chose jusqu'à satiété ! Alors pour l'être humain que peut bien aider encore le nom «DIEU» ! Il est déprécié,n'est même pas considéré comme la plus petite de toutes les monnaies ! Pire encore, comme une pièce de vêtement usagé. Et cet être humain de la Terre,
(3) qui par ailleurs se veut tellement sagace, imagine cela inoffensif, pèche en ces choses plus de cent fois par jour ! Où est la réflexion ! Où le moindre élan d'intuition ! Vous aussi êtes complètement insensibles à cela, l'écoutez tranquillement quand la plus sacrée de toutes les notions est ainsi piétinée dans la boue du quotidien ! Mais ne vous trompez pas ! Le compte débiteur dans l'au-delà est ainsi impitoyablement grevé pour tout un chacun qui a péché de la sorte ! Et il n'est pas si facile d'expier ceci précisément, parce que cela entraîne de façon tellement étendue des conséquences néfastes qui doivent se venger jusqu'à la troisième et quatrième génération si, dans cette chaîne des générations, il n'est pas un être humain qui devienne raisonnable et mette un terme à ces mauvais agissements. C'est pourquoi essayez de combattre l'habitude nuisible dans les cercles qui vous sont familiers. Mais avant toutes choses, coupez d'abord vos propres liens karmiques avec toute l'énergie qui existe encore en vous, afin que	(4) le compte débiteur ne devienne encore plus grand que ce qu'il est déjà. Ne croyez pas en un rachat facile parce qu'en ces choses vous n'avez jusqu'alors pas du tout pensé à mal ! Le dommage est en conséquence exactement le même ! Et le péché contre le commandement demeure assurément ! Vous le connaissiez pourtant parfaitement. Que vous ne vous soyez pas efforcés de vous rendre compte de façon claire de la portée de celui-ci, est votre faute ! C'est pourquoi il ne peut rien vous en être remis non plus ! Écoutez et agissez, de sorte que vous soyez capables de délier encore beaucoup de choses sur Terre. Effrayant est le marécage qui sans cela vous attend lorsque vous parviendrez dans l'au-delà, et qui en entravant se placera dans le chemin vers l'ascension. Cependant non seulement l'individu, mais les autorités aussi montrèrent leur résistance contre ce commandement pendant des siècles, quand elles réclamaient par contrainte le serment aux personnes, les poussaient violemment à la transgression sous la menace de châtiment terrestre, si elles ne répondaient pas à cette exigence  Mais la sanction de l'au-delà est bien plus lourde, et elle retombe sur tous ceux qui exigèrent le serment, non pas sur ceux qui devaient le prêter sous la pression. Le Christ encore une fois disait également
(5) «Que votre discours soit oui ou non : car tout ce qui est au-delà vient du mal ! » Et pourtant les autorités avaient le pouvoir de donner au Oui ou au Non le poids déterminant, tout en le punissant par duperie devant le tribunal comme le parjure ! Ainsi pouvaient-elles élever la valeur des paroles devant le tribunal à ce niveau qui leur était nécessaire pour un jugement. Il n'était donc pas utile par conséquent d'amener les humains par contrainte à la transgression du commandement de Dieu ! Mais les églises et leurs représentants agirent de façon bien pire encore, eux qui sous les invocations de Dieu, soumettaient leurs semblables aux plus abominables tortures, les brûlaient sous les invocations de Dieu, si tant est qu'avant ils n'eussent déjà succombé aux supplices. L'empereur romain Néron bien connu de tous et célèbre par sa cruauté, n'était dans ses martyrs de chrétiens pas aussi mauvais, pas si condamnable que maintes églises avec leurs monstrueuses listes Premièrement, il n'a de loin pas autant assassiné et de péchés contre les lois de Dieu !	(6) torturé, et deuxièmement pas sous d'aussi hypocrites invocations de Dieu, qui dans ce genre sont à compter parmi les plus grands blasphèmes contre Dieu qu'un être humain soit capable de commettre. Cela ne sert à rien si ces mêmes églises condamnent aujourd'hui ce qui jadis malheureusement fut trop longtemps commis par elles ; car elles n'y ont pas renoncé de bon gré ! Et aujourd'hui encore on n'agit guère autrement dans la lutte réciproque, seulement plus silencieuse et dans une forme différente, plus moderne ! Là aussi seule sa forme a changé avec le temps, pas le noyau vivant ! Et seul ce noyau que l'on cache si volontiers, compte devant le jugement de Dieu, jamais la forme extérieure ! Et cette forme actuelle, anodine seulement d'apparence, naquit du même orgueil indicible de l'esprit des représentants de toutes les églises, comme par le passé. Et là où n'est pas l'orgueil condamnable se trouve une vaine présomption qui s'appuie sur la puissance terrestre des églises. De ces défauts résultent assez souvent les hostilités les plus inconvenantes qui sont de plus tissées encore de calculs terrestres sur l'accroissement de l'influence, si ce n'est jusqu'au désir ardent d'une portée de grande politique